Alexandra

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il y a 7 ans

Je venais de réussir mon bac et la question qui se posait maintenant était de savoir ce que j'allais faire à la rentrée. Mes parents me conseillaient fortement de poursuivre les études, en me rabâchant sans cesse que sans bagages on ne peut pas aller loin. Le problème était que dans notre région il n'y avait rien d'intéressant.

  • Tu n'as qu'à aller à Paris, il y a ta cousine qui bosse là-bas. Comme ça tu ne seras pas perdu, me dit ma mère. Je vais téléphoner à ta tante pour lui en parler.

Ma tante et ma mère étaient soeurs jumelles et elles étaient très proches, à tel point qu'on passait toutes nos vacances ensemble. Qu'est-ce qu'on a pu faire comme bêtises avec Alexandra, ma cousine. Elle devait avoir dans les vingt et un ans maintenant, et même si depuis qu'elle était à Paris on n'avait plus trop de contact, je la considérais comme quelqu'un qui m'était cher.

Les renseignements sur ma cousine et mes études pris, me voilà embarqué pour la capitale. On était en septembre et la rentrée était pour bientôt. J'avais décidé de m'inscrire à l'université sans vraiment savoir ce que je voulais devenir.

Me voici à la gare Austerlitz débarquant mes bagages du train. Deux énormes valises de fringues. Ma cousine m'avait dit qu'elle m'attendrait dans le hall d'entrée de la gare. Je la vis sans hésitation. Une petite brunette coupée au carré, des yeux d'un noir profond légèrement maquillés, un mètre soixante environ, dans les quarante kilos. Je remarquais aussitôt ses petits seins et ses petites fesses misent en valeur dans un tenue moulante à la mode. Elle était secrétaire depuis peu et avait trouvé un boulot dans une boite parisienne.

J'avais toujours ressenti un petit quelque chose pour elle, même si nos jeux d'enfants étaient remplis d'innocence. Ne pas l'avoir vu depuis trois ans me fait dire qu'elle était adorable.

  • Salut cousin ! me dit-elle en me tendant sa joue. Tu as fait un bon voyage ? Tu n'es pas trop fatigué ?

  • Non, ça va, répondis-je, même s'il me tardait de me poser.

  • Allez, direction la maison ! dit-elle, une fois les bagages déposés dans le coffre du taxi.

Elle habitait un petit deux pièces dans le sixième arrondissement, à côté du jardin du Luxembourg.

  • Désolé, ce n'est pas très grand et je n'ai que le matelas du clic-clac à t'offrir. Tu pourras poser tes bagages dans le grand placard.

Je vous passe les détails de l'installation, et les débuts galère à la fac. Sans repères, c'était assez dur de bosser. Ça faisait environ deux mois que j'étais là et la cohabitation se passait bien. Je faisais la bouffe et la vaiselle et en contrepartie elle s'occupait de mes fringues.

Un samedi matin alors qu'elle préparait un lessive, elle m'appela :

  • Stef, tu peux venir s'il te plaît ?

  • Qu'est-ce qu'il y a ? demandai-je en arrivant.

  • C'est quoi toutes ces traces là sur les draps ? Ca fait plusieurs fois que j'en trouve et ça commence à être crade. Tu fais quoi dans les draps ?

  • Rien, pourquoi ? Dis-je d'un air étonné, même si je voyais quelques auréoles.

  • Tu fais encore pipi au lit ? Tu te branles dans les draps ou quoi ? C'est crade quand même. Tu pourrais faire attention.

C'est vrai que j'avais eu des problèmes de pipi au lit jusqu'à l'adolescence, mais c'était fini depuis quelques temps.

  • Non, je ne sais pas.

  • Bon ce n'est pas grave, mais il te faudra faire attention. Tu dors nu ou en caleçon ?

  • Avec un tee-shirt, pourquoi cette question ?

  • Juste pour savoir.

Et elle mit les draps dans le lave-linge.

Le soir venu, alors que je défaisais le clic-clac pour aller me coucher, elle arriva dans le salon, en tenant un truc à la main.

  • Tiens, c'est pour toi !

  • C'est quoi ? lui demandais-je d'un air étonné.

  • C'est une serviette hygiénique pour la nuit, me répondit-elle. C'est la marque que j'utilise, je voudrais que tu mettes ça dans ton caleçon pour dormir. Afin de t'éviter de tâcher les draps, avec quoi que ce soit.

C'était un rectangle en coton, d'une vingtaine de centimètres de long et deux ou trois d'épaisseur. Il me paraissait bien gros pour être une serviette, d'autant plus que ça ne ressemblait pas du tout à ce qu'on pouvait voir dans les pubs télé, mais bon.

  • C'est vachement gros pour une serviette !

  • C'est une serviette spéciale flux abondant, et pour la nuit. Comme ça on est tranquille pour la nuit, sans problèmes de fuites.

Je pris la serviette dans la main et ressentis un petit truc bizarre à l'intérieur de moi, en me disant que j'avais découvert un petit peu d'intimité de cette cousine si mignonne.

Dans la salle de bain, j'enlevai mon pantalon et glissai sans trop savoir comment ce truc dans mon caleçon. Ca faisait une sacrée déformation qui me ridiculait... Je sorti penaud de la pièce d'eau pour aller me coucher.

Alexandra m'attendait, assise sur le clic-clac.

  • Alors ça va ? Tu as réussi à la mettre ? Fais voir ! Soulèves ton t-shirt ! Ce que je fis à sa demande.

  • Pour toi il faut qu'elle soit plus sur le devant, si tu vois ce que je veux dire.

Elle me prit par les fesses, pour m'attirer plus près d'elle. Elle passa une main à travers l'ouverture d'une jambe, pendant que l'autre tenait l'ouverture écartée. Agissant de la sorte, elle essayait de mettre la serviette bien en place.

  • Et bien cousin, il faut te calmer, me dit-elle d'une voix faussement sèche.

En effet, les mains d'une fille qui se baladent dans le caleçon d'un garçon ne peuvent le laisser indifférent. En d'autres termes, mon sexe commençait à gonfler...

  • Désolé, répondis-je, mais je suis pas trop habitué à ça de la part d'une fille..." Et c'était vrai. Dans le village où on était, il y avait peu de filles et les seules qu'il y avait partaient à l'école du village à côté, car on était encore à l'époque où l'école des filles et des garçons étaient séparée. Une vieille tradition séculaire que personne ne veut rompre, même si ça a fait des générations de puceaux attardés. En tout et pour tout, j'avais du coucher avec une ou deux filles...

  • Bon voilà, ça devrait aller,dit-elle. Ça fait une sacrée bosse quand même.

Elle se leva et m'embrassa sur la joue en me souhaitant une bonne nuit. Je me suis couché et me suis mis à penser à la scène que je venais de vivre et à cette cousine, de plus en plus mignonne. Il est vrai qu'en approchant de l'adolescence nos jeux était de mois en moins innocents. On se retrouvait le plus souvent à jouer au papa et à la maman ou au docteur. Je pense que c'est l'évocation de ces souvenirs qui me faisait ressentir quelque chose pour elle, même si à l'époque elle devenait un peu plus distante au fur et à mesure qu'elle se faisait femme. Sans m'en rendre compte, j'étais en train de bander et une forte envie de me caresser me prit. Je mis la main sur mon caleçon en tâtant cette serviette et en ondulant du bassin. Je m'imaginais Alexandra la mettre entre ses cuisses. Le résultat ne se fit pas attendre, en deux temps, trois mouvements, j'écaculai avec un plaisir sans commune mesure, innondant la serviette et mon sexe de ma semence gluante. En ouvrant mon caleçon, je constatai les dégâts et me demandai comment je pourrais cacher à Alexandra ce petit plaisir solitaire innatendu.

La seule solution qui s'imposait à mon esprit, était de me lever et d'aller m'essuyer le plus possible aux toilettes.

Je me levai et me dirigeai doucement vers les toilettes, qui étaient à côté de la chambre d'Alexandra. Comme je m'en approchais, j'entendis des petits soupirs venir de derrière la porte de la chambre de ma cousine. En tendant l'oreille, les soupirs devenaient plus forts et se transformaient progressivement en gémissements. Je n'eus aucun doute sur ce qu'il se passait; ma cousine se masturbait avec fougue.

Pire que le champs des sirènes, les gémissements d'une femme qui se donne du plaisir sont comme un aimant qui m'attire irrésistiblement au point de ne pouvoir décrocher et de fanstasmer à mort. A tel point que moins de cinq minutes après avoir joui, je me remettais à bander.

Je mis la main sur la serviette et de la même manière que la dernière fois, j'ondulai aux rythmes de ses gémissements. J'atteignis l'apogée en même temps que ma cousine, en inondant pour la deuxième fois mon entrejambe. L'excitation aidant, j'avais oublié le contexte de la situation et poussai un petit cri en éjaculant. Erreur, triple erreur de ma part, ce cri créa un sursaut de l'autre côté de la porte, j'entendis les ressorts du matelas, annonçant ma cousine se levait.

Je me précipitai, en quatrième vitesse, vers la salle à manger pour m'écrouler dans le canapé en feignant de dormir. J'entendis la porte de sa chambre s'ouvrir et se refermer quelques secondes plus tard. Ouf, je l'avais échappé belle, mais plus moyen d'aller me nettoyer aux chiottes maintenant.

La solution qui me paraissait la meilleure était de faire un petit pipi dans la serviette. Je pensais que mon pipi diluerait les traces de sperme. Ne pouvant y arriver en étant couché, je me levai le plus discrétement possible et tentai de libérer mon sphincter, en lachant quelques gouttes. No problemo, ça marchait ! Légèrement imbibée, la serviette estompait les traces de mon plaisir solitaire. Je me recouchai et m'endormis en pensant à tout ça. En me disant qu'après toutes ces années, je n'avais pas laissé ma cousine indifférente.

Le dimanche matin, elle vint me réveiller vers dix heures.

  • Bonjour, cousin, ça va ? Tu as bien dormi ? Tu n'as pas été trop gêné par la présence de la serviette dans ton caleçon ?

  • Non, ça va, Je m'y suis habitué.

  • Alors, elle t'a servi ?

Faisant mine de rien savoir, je soulevai le drap, pour entrebailler mon caleçon, en faisant semblant de vérifier l'état de la serviette.

  • Ben, je sais pas... Elle semble mouillée, mais je ne me rappelle pas avoir fait quoi que soit.

Fais gaffe, il y a ton nez qui va pousser, me dis-je en moi-même.

  • C'est sans doute de la transpiration.

  • Fais voir, dit-elle en s'approchant et en tentant de regarder par-dessus les draps.

  • Non, c'est secret ! dis-je violemment, en refermant les draps, de peur qu'elle voit les traces.

  • Ce n'est pas grave, allons déjeuner.

Et elle tourna les talons pour se diriger vers la cuisine.

Je me levai du canapé pour me diriger vers les toilettes pour le pipi du matin.

En baissant mon caleçon, je constatai les dégâts sous la forme de quelques traces de sperme collées aux poils et une serviette un peu jaunie, mais surtout une forte odeur âcre. J'enlevai la serviette et la jetai dans la poubelle à côté de la cuvette. Heureux que ma cousine n'ait pu vérifier l'état de la serviette.

On n'a pas reparler de la situation lors du déjeuner, je ne voulais pas en ajouter et être ridicule devant elle. Je me mis à la regarder fixement. Elle me regarda et me demanda :

  • Qu'est-ce qu'il y a ?

  • Rien, dis-je, je te t'ouvre encore plus mignonne que quand on était gosse.

  • C'est gentil. Merci, répondit-elle en rougissant.

Après le petit-déjeuner elle partit se doucher et ressortit près d'une heure après fraîche et pimpante.

  • A toi maintenant.

Je rentrai dans la salle de bains et fermai la porte derrière moi. J'ignore si c'était ce qui c'était passé la nuit derrière ou si je n'avais jamais fait attention, mais il flottait une agréable odeur de produits de beauté et de parfums, qui me remplissait d'émois.

Sous la douche, j'essayais tant bien que mal d'enlever les traces de sperme collées sur mes poils. Le problème était qu'avec la nuit, elles avaient séché, ce qui rendait la tâche de nettoyage assez difficile. En procédant touffe par touffe, j'y arrivais doucement. Au bout d'un moment d'effort, je réussis par enlever toute trace de mes exploits nocturnes. Après la douche, je m'habillai puis sortis de la salle de bains.

Desoeuvrées, nous sommes sortis pour nous balader un peu par cette belle matinée de Novembre.

Le soir venu, Alexandra me redonna une de ses serviettes en me disant d'en prendre soin car c'était la dernière. Elle me dit aussi de me débrouiller et, surtout, de bien la mettre. Je pris la serviette et me couchai.

Une fois toutes les lumières éteintes, je retirai la serviette de mon caleçon et la gardai dans la main pendant que de l'autre je me caressais. Porté par je ne sais quelle envie, je me mis à sentir la serviette et en essayant de sentir quelque effluve féminine, en m'imaginant qu'Alexandra me caressait. Les jets de sperme qui m'arrivèrent sur le ventre et sur les draps me ramenèrent brutalement à la réalité et me firent prendre conscience de ma bétise. Je tentais d'essuyer les traces avec la serviette, les étalant un peu plus, malgré le soin que je mettait à faire disparaître toute trace des draps. Même si je réussi un peu, il restait quelques traces qui n'échapperaient certainement pas au regard de ma cousine.

Je remis la serviette dans mon caleçon, tentai de trouver une place pas trop humide sous les draps et sombrai dans un sommeil réparateur.

Le lundi matin, à sept heures, je fus réveiller par Alexandra qui entra dans le salon en allumant la lumière.

  • Debout là dedans ! il est l'heure de se lever.

Elle tira les draps à mes pieds et vit immédiatement les auréoles de sperme qui avaient séché.

  • C'est quoi ça ? dit-elle en montrant les draps.

  • Je crois que j'ai du faire un rêve très érotique. dis-je en espérant que mon mensonge passerait.

  • Merde alors, t'es crade quand même ! Et la serviette alors ? Elle n'a pas suffit ?

  • Ben non, répondis-je faussement penaud, elle a sûrement du se déplacer pendant que je dormais.

  • Elle est encore dans ton caleçon ?

  • Oui et je comprends pas ce qui c'est passé.

  • Ce n'est pas grave, on verra ça ce soir. Je file à la douche. Prépare le petit-déj.

Après s'être douchés, on se mis à table.

  • Il faudrait faire quelque chose pour ça quand même, c'est chiant toutes ses traces, dit-elle en mordant dans sa biscotte.

  • ????, un ange passa pour meubler le silence.

  • Bon, on verra ce soir, dit-elle, avant d'engloutir son café. Moi de mon côté, je n'en menais pas large, me taisant pour éviter d'aggraver la situation.

Chapitre 2

Le soir venu, alors que j'étais rentré des cours depuis un petit moment, à son tour ma cousine rentra du boulot.

  • Coucou, c'est moi, dit-elle en rentrant dans le salon. J'ai trouvé la solution pour tes problèmes ! dit-elle en jetant un sac plastique sur le canapé. Vas-y, ouvre et regarde !

J'ouvris le sac, et tirai deux trucs pliés en me demandant ce que c'était.

  • Mais on dirait des couches ? dis-je sur un air étonné, tout en me disant que c'était bien trop grand pour en être.

  • Bravo, tu as gagné !

  • Elles sont vachement grandes tes couches. Le pauvre bébé doit être emmaillotés de la tête aux pieds, avec ça.

  • C'est pas pour les bébés, mais pour les adultes. Enfin, normalement pour les vieux qui se font dessus. Je les ai récupérée au boulot pour toi. C'est ce qu'il te faut à la place de mes serviettes. Tu mets ça, et en cas de pollutions nocturnes tu ne risques pas de salir les draps.

  • Au boulot ? Comment ça au boulot ?.

J'avais du mal à comprendre comment des couches pour adultes pouvaient se trouver au boulot d'Alexandra, alors qu'elle était secrétaire ?

  • Ben oui au boulot. Parfois il y a des situations où tu ne peux pas aller aux toilettes quand tu veux. Alors, il vaut mieux porter une bonne protection si ne tu veux pas te faire dessus. Tu sais des fois, les réunions durent des heures et quand tu es secrétaire comme moi, tu n'as pas intérêt à t'absenter pendant que tes patrons parlent, sinon tu te retrouves au chômage. Alors je porte ça de temps en temps. C'est une copine, caissière dans un supermarché, qui m'a donné le truc.

Elle prit la couche et la déplia sous mes yeux éberlués.

  • Tiens essayes ça pour voir. Je n'étais pas sûr pour la taille quand je l'ai prise où je travail.

  • Mais ça se met comment ? J'ai jamais mis ça moi. Je devais avoir dix ans la dernière fois que j'ai porté une couche, et c'est maman qui me la mettait.

  • Ça va, j'ai compris ! Je vais te la mettre, dit-elle en s'approchant du canapé. Allez baisses ton pantalon et allonges-toi que je puisse faire le test de la taille.

  • Non mais ça va pas dans ta tête ? Tu ne penses quand même pas que je vais me mettre à poil devant toi quand même, dis-je en me demandant comment tout ça allait finir.

  • Pfff quel enfant tu fais. Comme si je n'avais jamais vu ton asticot, répondit-elle sur un ton moqueur. Tu te rappelles pas quand on prenait notre bain ensemble ? Les baignades à la rivières... Tu as oublié tout ça, me demanda-t-elle avec un voile de tristesse dans la voix.

  • Mais on avait dix ans Alexandra ! Aujourd'hui c'est différent.

  • Il n'y a rien de différent. Tu es mon cousin et je n'ai rien à te cacher, un point c'est tout. On serait dans la situation inverse que ça me gênerait pas du tout. Allez déshabilles-toi, autrement ce soir je te laisse te démmerder tout seul. De toute façon cette nuit, tu ne dormiras pas sans la couche. Tes derniers débordements nocturnes dans mes draps ne m'ont pas laissé un autre choix que celui-là.

  • D'accord ! Tu as gagné, dis-je en me levant, avec un mouvement d'humeur pour baisser mon pantalon.

Il est vrai que depuis que nous étions tout petit, ma cousine profitait du fait qu'elle était l'aînée pour me faire faire tout ce qu'elle désirait. Elle commandait et j'obéissai, c'était comme ça. Et aussi loin que je me rappelle, j'étais obligé de suivre cette règle. Par habitude aujourd'hui je me pliai à ses exigences.

  • Le caleçon aussi, dit-elle sèchement.

  • Quoi ! dis-je incrédule de ce que je venais d'entendre.

  • Tu m'as très bien entendu, ton caleçon aussi. Comment veux-tu mettre une couche en gardant ton caleçon ? Ce ne sera jamais efficace, argumenta-t-elle.

Dominé par le ton autoritaire d'Alexandra, je baissai mon caleçon et m'allongeai sur le canapé.

  • Lèves tes fesses et relèves ton pull. Tu vois, tu glisses la couche sous tes fesses, la partie avec les adhésifs dans le dos. Tu baisses les jambes, et ensuite tu rabas le devant sur ton ventre.

Je baissai les jambes.

  • Oh mon Dieu ! dit-elle sur un ton faussement surpris.

  • Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?

  • Rien, sauf que tu as bien changé depuis nos dix ans ! répondit-elle. Il y a surtout des endroits qui ont grandit plus que d'autres. Avec un engin comme ça entre les jambes, je connaîs beaucoup de copines qui rêveraient de faire ta connaissance.

  • Pourquoi ? Il est petit ?

  • Que du contraire ! Il est énorme, je comprends pourquoi tu as eu des problèmes cette nuit, et pour quoi tu en as mis plein les draps. Ça a du déborder.

En entendant cela, je fus légèrement excité, à tel point que mon sexe commençait à grossir.

  • Eh oh! Tu n'as pas honte, je suis ta cousine quand même.

  • Si ça continue comme ça, je vais pas pouvoir me retenir longtemps.

Cette fois j'étais en érection complète.

  • Hé cousin calme-toi, je suis ta cousine.

Elle prit toutefois mon sexe dans sa main pour le recalotter, avant de rabattre le change sur mon ventre. La douce chaleur de sa main fit que j'eu une contraction.

  • Une fois rabattu, tu prends les adhésifs, d'abord ceux du bas et ensuite ceux du haut. Penses à bien recalotter ton sexe si tu bandes quand tu te changes, autrement ça risques de te faire mal. Soit tu mets ton kiki vers le haut, soit vers le bas. Si tu le mets en bas, quand si tu bandes dans ta couche, ça va te faire mal. Comme c'est pour la nuit, il vaut mieux le mettre vers le haut, comme ça, l'érection du matin passera toute seule.

  • Je suis désolé pour l'érection, c'est involontaire.

  • Ce n'est pas grave, et puis ça m'a flattée de voir que je te mettais dans cet état là, même si tu es mon cousin. Lèves-toi, que je voie si je l'ai bien mise.

Le pantalon et le caleçon sur les chevilles, je me suis levé du canapé.

  • Hmm... ça te va super bien, tu sais que tu es super sexy avec ça. Surtout quand on sait ce qu'il y a dedans.

  • Moi je me trouve surtout ridicule.

  • Mais non cousin tu te fais des idées. Enlève ton pantalon et va te voir dans la glace, tu t'apervevras que j'ai raison..."

J'enlève mon pantalon, mon caleçon et je pars vers la salle de bains, en gardant le pull sur le dos. Je me mets devant la glace et je commence à regarder mon reflet que le miroir me renvoie. Je vois surtout cette couche géante me recouvrir le sexe et les fesses.

Alexandra me rejoint quelques secondes après. Elle se place derrière moi et me dit :

  • Regarde comme tu es mignon. Un vrai bébé à croquer, dit-elle en me pinçant la fesse à travers la couche. Surtout pense à vérifier les élastiques anti-fuites, poursuit-elle en passant un doigt entre la couche et une fesse afin de vérifier la position des élastiques. Elle le fait de chaque côté puis, passe par devant pour faire de même.

  • Tu vois, si tu mets mal ces élastiques, tu risques d'avoir des fuites. Ah, mince, suis-je bête ! dit-elle, tu ne te fais pas dessus toi, enfin c'est pas du pipi, lança-t-elle avec un petit sourire en coin. Pour toi, il faut plus vérifier que ton robinet est dirigé vers le haut qu'autre chose.

Après avoir sorti son doigt de sous la couche, elle pose la main sur le devant et réajuste mon sexe à travers la couche. Ce geste très orienté à tôt fait de réveiller mon érection. Cependant, au lieu de juste le remettre dans sa position correcte, la main d'Alexandra, s'attarde, se pose même sur toute sa longueur, et se met à la frotter contre le plastique.

Poussé par je ne sais quelle pulsion, je tourne ma tête et j'approche mes lèvres des siennes. Elle ferme les yeux et accepte ma langue. Je me tourne complètement vers ma cousine, je la prend dans mes bras et la plaque contre mon corps. Mon sexe en érection enserré dans sa couche se colle à son corps. Elle pose ses deux mains sur mes fesses et me pelotte doucement. L'excitation aidant, mon bassin commence à onduler doucement comme pour simuler un coït. Le corps d'Alexandra, comme mû parla même fièvre répond à mes avances. J'avance une jambe pour la passer entre les siennes. Elle se frotte.

La douce sensation du coton de la couche et le fait de sentir le corps d'une femme contre moi, accélèrent les balancements du bassin au bout de quelques instants de ce corps à corps inattendu.

  • Allez, vas-y mon bébé, fais dans ta couche ! me dit-elle en poussant sur mes fesses comme pour accélérer le mouvement. Une brusque convulsion annonce l'imminence de mon orgasme. Puis, six jets de semence chaude innondèrent mon bas ventre, dans un râle absorbé par la bouche de ma cousine.

  • C'est bien mon bébé, maman est fière de toi ! me dit-elle, avant de relâcher son étreinte. Tu vois que tu as bien fait de mettre une couche. En plus je te trouve irrésistible avec. D'ailleurs tu vas la garder jusqu'à demain.

  • Et si j'ai envie de faire pipi ? dis-je en tentant de rester debout malgré mes jambes flageolantes.

  • Et bien tu as tout ce qu'il faut sur toi. Si tu n'as pas trop froid, tu peux rester comme ça. Autrement habilles-toi, maman va faire à manger.

Après avoir terriblement joui, je ne pu résister à ses désirs et c'est avec une couche sur les fesses, que je remis mon caleçon et mon pantalon avant de regagner le séjour.

  • J'espère que tu as gardé ta couche ? me demanda-t-elle.

  • Bien sûr, puisque tu me l'as demandé si gentiment.

Pendant le repas on discuta des personnes dont elle s'occupait bénévolement. Ma cousine orienta directement la conversation vers les couches et les séances de changes. A un moment donné du repas, une envie pressante de faire pipi se fit sentir.

  • Alexandra ?

  • Oui ?

  • J'ai envie de ...

  • Envie de quoi ?

  • De faire pipi.

  • Ben fait pipi, vas-y, tu as une couche, non ? Tu sais c'est fait pour ça. Ne craint rien, tu es en sécurité. Une couche peut tenir plusieurs heures.

  • Mais je n'ai jamais fait pipi assis.

  • Lève-toi tu auras plus facile pour faire pipi.

Ecoutant les conseils d'Alexandra, je me suis levé et tente de faire pipi, pour la première fois de ma vie, dans une autre pièce que les toilettes, et en portant tous mes vêtements.

  • Vas-y, détends-toi, me dit-elle, pense que tu es aux toilettes ou dans l'eau.

Je me détendis, en essayant de me concentrer, et fermai les yeux pour tenter de m'imaginer devant la cuvette. Ca y est je sens mon sphicnter se relâcher et le pipi se ruer vers la sortie. D'abord quelques gouttes, puis un flot plus important.

  • Et bien ? Mais on dirait que ça marche ! dit Alexandra contente de mon exploit. J'entends tout d'ici.

  • C'est vrai ? dis-je, étonné de ce que je viens de faire aussi facilement et de sa réaction.

  • Mais oui mon bébé. C'est très bien, continue comme ça, maman est fière de toi. Dans quelques jours tu n'y penseras même plus et tu feras naturellement ta couche.

  • Comment ça ?

  • Ben oui. Tu sais pas ? Il paraît que les personnes qui ont goûté au plaisir du port de la couche et qui ont fait dedans, disent que c'est la sensation la plus douce qu'ils aient jamais connu, et qu'ils ne peuvent plus s'en passer. Ils vont même jusqu'à régresser et refaire pipi au lit. Certains vont jusqu'à vouloir devenir totalement incontinent.

  • C'est vrai que c'est agréable, dis-je en me rasseyant, mais de là à en porter tout le temps, il y a un monde. Et puis je te rappelle que je suis pas malade, que je ne me fais pas dessus, et que si je portes une couche c'est parce que tu m'y as obligé. À cause de soi-disante traces dans les draps.

  • Pendant que tu y es, dis que tu n'as rien fait dans les draps, espèce de petit cochon. Et puis j'ai bien vu la serviette que tu as jeté dans la poubelle, elle avait des traces de pipi. Ça prouve que tu as du mal à te contrôler et qu'il faut que tu portes une protection.

  • C'est pas ça, tu peux pas comprendre, répondis-je un peu agacé.

C'est vrai que j'avais fait pipi dans la serviette, mais c'était plus pour cacher les traces de sperme. Mais elle avait raison, cette sensation d'avoir les fesses, les hanches et le sexe, maintenu serré était agréable. Cette douceur du coton et puis la chaleur du pipi. Je venais de découvrir une nouvelle sensation très érotique.

Après le repas, on regarda la télé un moment. Avant de se coucher, elle se tourna vers moi et me demanda :

  • Tu as encore fait pipi depuis tout à l'heure ? Tu veux que je regarde avant d'aller au lit ou tu peux garder cette couche jusqu'à demain ?

  • Oui, non, enfin... je sais pas.

  • Bon, ben, déshabilles-toi que je vérifie.

Pour la deuxième fois de la journée, je dus baisser mon pantalon devant ma cousine, ce que je fis avec un certain plaisir.

  • Ça devrait aller, me dit-elle. Tu vois l'auréole jaune, là devant. C'est Le pipi que tu viens de faire a été absorbé par la couche. Lorsque ta couche sera entièrement jaune, jusque derrière. Ce sera le signe qu'elle est remplie, et qu'il faut te changer. Tu m'appelleras pour que je t'en mette une propre. Sinon tu risques des fuites et de bousiller le matelas. Tu m'as compris ?

  • Oui cheffe ! répondis-je sur le ton de la plaisanterie.

  • Bisous et au dodo, mon gros bébé, dit-elle en m'embrassant sur la joue, avant de se diriger vers la salle de bains.

Je me suis déshabillé complètement et me suis glissé sous les draps. La couche que je portais me faisait une sensation bizarre entre les jambes à chaque fois que je bougeais. J'étais habitué depuis très longtemps à dormir le bas nu, mon sexe traînant ça et là sur les draps. Maintenant il était emprisonné dans un cocon de coton, qui était des plus agréable.

Je me mis à penser à cette journée, où ma cousine me met une couche, se branle contre ma cuisse, et me traite comme si j'étais un bébé. La situation et surtout son comportement me paraissait bizzarre. Elle disait qu'elle mettait des couches de temps en temps pour son boulot, mais la façon dont elle me traitait me parraissait louche. J'avais l'impression d'être le partenaire involontaire d'un jeu, dans lequel je suis son bébé, complètement soumis à ses fantasmes. C'était sans me déplaîre. Moi qui n'avait eu tout au plus que deux ou trois relations intimes avec des filles; mais il fallait que j'en sache plus. Et c'est sur ses douces pensées que je m'endormis. Je me mis à rêver, de ma cousine, de moi, de ses couches et de nos jeux d'enfants.

Tout cela fit que je me réveillai brusquement dans la nuit, sans savoir pourquoi, une sensation étrange dans le bas du ventre. J'allume la lumière, je soulève le draps pour voir ce qu'il y a. Ah oui, tiens donc, c'est vrai, j'avais oublié, je porte une couche. La sensation bizzare vient de là. Je me mets sur le dos et tire sur le devant de la couche pour voir à l'intérieur. Et là, je vois mon sexe tout gluant qui retrouve sa taille normale, après avoir libéré ce qui semble être du sperme. Le rêve que je venais de faire m'avait fait jouir.

Une de ces pollutions nocturnes que les ados craignent tant. En constatant les dégâts, je réalise le bénéfice de porter une couche la nuit, même si on est plus victime de pipi au lit. Il faudrait que le port de la couche se généralise chez les ados, pensai-je. Ça éviterait des tonnes de lessive, des hontes matinales et les explications malheureuses à beaucoup de garçons.

Heureusement que j'avais cela me dis-je dans ma tête, sans me douter que c'était le fait d'être garni qui avait déclenché cet orgasme inattendu. J'éteignis la lumière et me rendormit en pensant au réveil.

Chapitre 3

Lelendemain à sept heures, la lumière s'allume, ma cousine est à mes côté quand j'ouvre les yeux.

  • Debout, il es l'heure. dit-elle en soulevant la couette pour regarder mon entrejambe.

  • Alors, ça va ? Ta couche a tenu le coup ? Ecartes les jambes que je voie ça.

j'obéis dans un demi-sommeil.

  • Ça va ! dit-elle. Elle a tenu le choc, même si les mouvements de la nuit ont mis le coton légèrement en boule dans le bas de la couche. Tournes-toi, montre-moi tes fesses. Ça va elle n'est pas trop mouillée on dirait, tu ne t'es pas fait dessus dans la nuit. Je vois que tu es un grand garçon quand tu veux. Bon ben, lèves-toi et va préparer le petit déj, je vais me doucher, je te l'enlèverai tout à l'heure.

Et c'est les fesses garnies que je me suis levé, pour préparer le déjeuner. Je ne savais pas trop ce qui m'attendait, mais je ne pouvais pas aller à la salle de bains pour enlever cette couche qui abritait le résultat de mes rêves nocturnes.

Quelques minutes plus tard, ma cousine sortit de la salle de bains fraîche et pimpante comme à l'accoutumée.

  • On déjeûne, et ensuite je te montrerai comment enlever ta couche, me dit-elle.

On passe à table.

  • Ca va, t'as bien dormi ? Ça ne t'a pas trop gêné ?

  • Non, ça va, on s'y habitue. Mais j'aimerai bien aller aux toilettes car j'ai une grosse envie.

  • Ben tu n'as qu'à faire comme hier. De toute façon, elle ne servira plus par la suite. Tu peux l'utiliser, dans dix minutes tu l'auras plus. Vas-y laisses-toi aller tu verras, ça ira tout seul. Mais ne fais pas la grosse commission, on est à table quand même... Pense à la flotte, à la mer, à l'eau qui coule.

Ca y est je me détends et suis ses conseils et c'est vrai que ça marche.

D'abord je sens quelques gouttes remonter mon canal urinaire, puis un flot plus important vient cogner contre le coton et le plastique de la couche.

  • Et bien dis donc, dit-elle, tu avais vraiment une grosse envie on dirait.

  • Oui.

  • Fais gaffe quand même. Attention aux fuites si tu vas trop vite. Il ne faut pas trop pousser, il faut que ce soit naturel, comme si tu étais aux chiottes.

  • Ah, ça y est, ça va mieux.

  • Alors, ça fait quoi de faire dans des couches ? C'est'y pas agréable ?, me demanda-t-elle d'un ton volontairement niais.

  • Oh, si... Je ne pensais pas que ça pouvait être comme ça. C'est vrai que ça fait drôle de faire pipi quand on porte des vêtements et quand on est aux chiottes. La sensation du coton est douce.

  • Avec l'habitude, tu apprécieras de plus en plus.

  • Attends, c'est que pour la nuit. Il est hors de question que j'en porte la journée ! dis-je.

  • Mais je le sais, J'ai dit ça que pour t'embêter. Mais bon qui sait ? Peut-être qu'un jour tu en porteras jour et nuit. En attendant, file à la douche, je vais tenlever ta couche."

Je me levai et parti vers la salle de bains, suivi de près par Alex.

  • Déshabilles-toi !

Ce que je fis. Et en peu de temps je me retrouvais nu devant elle, à l'exception de ma couche.

Elle s'acroupit devant moi...

  • Et ben dis donc, tu es bien trempé. Heureusement que tu n'as pas fais pipi dedans cette nuit, elle aurait débordé ce matin... Bon, il faut faire attention quand tu enlèves les adhésifs car tu peux déchirer ta couche et en mettre partout, après c'est le bordel pour nettoyer. Tu défais d'abord ceux du haut, puis ceux du bas. Une fois les adhésifs défaits, tu mets ta main en dessous et tu retires doucement ta couche.

Elle mit sa main dessous, et enleva ma couche. La couche enlevée, mon sexe se retouva libre de toute entrave. Le problème c'est que la position dans laquelle je me trouvais, était fort excitante. J'étais à poil devant une fille super sexy et son visage se trouvait à quelques centimètres de mon sexe. Et ce qui devait arriver arriva, je commençai à bander.

  • Et oh, t'as pas fini, dis donc ?

  • Désolé, c'est un réflexe.

  • Ce n'est pas une raison, dit-elle.

Je pensais qu'elle était en colère, mais le ton qu'elle employa me fait dire qu'elle ne le pensait pas.

  • En plus, il est tout sale, dit-elle en essayant de me recalotter.

Elle se leva, me tapa sur les fesses et me dit :

  • Allez dépêches-toi, tu vas être en retard.

Elle sortit de la salle de bains et ferma la porte derrière elle, en me souhaitant une bonne journée.

J'entrai dans la douche et commençai à me laver. Je commençai à me caresser pour satisfaire l'excitation créée par la situation. Sans couche et sans rien pour m'essuyer, j'arrêtai quelques secondes avant de jouir. Bien décider à en savoir plus ce soir.

Je sors de la douche, je m'habille et pars pour la fac.

Le soir venu, ma cousine rentra vers 20h, comme à son habitude, je l'attendai bien sagement assis dans le canapé, en regardant la télé. Après avoir mangé, on s'est affalés tous les deux dans le canâpé, et nous avons papotés à propos de notre journée.

Vers vingt-trois heures, elle me dit qu'elle était fatigué et qu'elle irait bien se coucher. Elle se lève et se dirige vers la salle de bains, pour revenir avant un change complet dans une main et un flacon dans l'autre.

  • Allez mon bébé, c'est l'heure d'aller au dodo, mais avant maman doit te mettre une couche, pour éviter que bébé fasse des cochonneries dans le lit. Allonges-toi sur le canapé, et défais ton pantalon.

Excité à cet idée d'être soumis à ses envies, je me plie à ses exigences. Elle baisse mon pantalon et mon caleçon.

  • Et bien ! C'est quoi ces tâches dans ton caleçon ? Ce ne serait pas du pipi par hasard ? Et elle s'accroupit et approche son nez de l'intérieur de mon caleçon et respire à plein nez.

  • Hmmm, ca sent pas très bon, on dirait que tu oublies de secouer ton petite robinet quand tu vas faire pipi. Maman n'est pas contente. Tu es un vilain petit garçon. Si ça continue, tu vas devoir porter des couches aussila journée.

  • Oh non, dis-je pour jouer le jeu. Je suis un grand maintenant, j'ai plus besoin de couches, je ferais tout ce que tu voudras, mais pas de couche, maman.

  • Vilain garçon, me dit-elle. De toute façon, ce n'est pas ta faute. C'est normal d'avoir des fuites avec un aussi gros robinet.

Le jeu commençait à prendre une drôle d'orientation et je commençais à bander.

  • Oh, mais c'est que le robinet grossi... petit cochon. Tu n'as pas honte ? dit-elle en le prenant en main.

À mesure que mon sexe grossissait je voyais les yeux de ma cousine s'aggrandirent, et sentais sa main se resserrer autour de lui. Lorsque je fus en pleine érection, elle me regarda et dit :

  • C'est malin, comment veux-tu que je te mette ta couche dans cet état là ?

Ça ne va jamais rentrer. Je ne vois qu'une seule solution. Ferme les yeux et ne dis rien.

J'obéis sans broncher et ferme les yeux. A cet instant, je sens la main d'Alex bouger de haut en bas et une douce sensation de chaleur et d'humidité sur le bout de mon gland. Elle est en train de le prendre dans sa bouche.

  • Hmmm, c'est bon, dit-elle en sortant mon gland de sa bouche. J'espère que bébé aime ce que lui fait sa gentille maman.

  • Oh oui, dis-je en savourant cet instant.

Elle reprit mon sexe dans sa bouche, en essayant d'engloutir le plus qu'elle pouvait. Au comble de l'exictation, j'essayai de me retenir, mais peu habitué à ce genre de soins, je sentis des contractions venir, et mon sexe durcir au maximum. La respiration de ma cousine se faisait plus pressante, à mesure qu'elle sentait venir mon orgasme. Finallement, pris de convulsions, j'envoyais dans la gorge d'Alexandra plusieurs jets de ma semence, en guise de remerciements. Sa cavité buccale déjà occupée par mon sexe, il ne restait que peu de place pour ma semence. Elle retira doucement mon sexe de sa bouche et lorsqu'elle eut fini, juste un mince filet de bave reliait mon gland à sa bouche. Un 'slurp' bruyant annonça l'engloutissement de mon sperme dans l'estomac de ma cousine.

  • Délicieux, dit-elle en se passant la langue sur les lèvres, comme pour happer les dernières gouttes. Et bien, mon bébé, ça a été rapide. Maintenant maman, va pouvoir tranquillement langer bébé. La prochaine fois, si tu es sage,maman te feras goûter son lait.

Le temps qu'elle s'essuye la bouche, mon sexe avait repris sa taille normale. Elle déplia le change sous mes fesses et rabattit le devant sur mon robinet, et scratcha les adhésifs un à un.

  • Bonne nuit mon bébé, me dit-elle en me faisant un bisous sur le front. Et surtout ne te mouilles pas trop.

  • Bonne nuit maman, lui répondis-je sur un ton quelque peu enfantin.

Toute lumière éteinte je m'endormis profondément et rapidement. Je me mis à rêver à la situation, la couche, la fellation, le fait qu'elle me prenne pour un bébé. C'était un rêve agréable, dans lequel j'étais vraiment un bébé qui devait encore porter des couches car il faisait encore pipi au lit. Que mon père nous avait abandonnés, que je vivais seul avec maman, et qu'une tendre union nous unissaient. En pleine nuit, une brusque envie me réveilla et me tira de ce sommeil.

L'envie de faire pipi, mais surtout celle de faire un tour dans la chambre d'Alexandra, enfin de maman. J'avais envie de la voir dormir. Je me levai doucement, en essayant de faire le moins de bruit possible. Je me dirigeai vers sa chambre et ouvrit tout doucement la porte. La chaleur qui émanait de la chambre était importante, comme si elle avait laissé le chauffage à fond. La lumière discrète des toilettes que j'avais allumée en passant, me fournissait suffisament de lumière pour distinguer Alexandra étendue sur son lit.

Elle dormait nue, sur le ventre. Mon regard commençait à scruter ses formes, pour s'attarder au niveau de ses fesses, petites et fermes, terriblement excitantes sous un pantalon moulant. Au début, je ne les distinguais pas, ne voyant qu'une tache blanche, à la place. Je pensais que c'était un bout de drap qui était resté, cachant cette anatomie si désirable. Puis mes yeux s'habituèrent à la pénombre et me permirent de discerner ce que c'était. Ma cousine avait mis la troisième et dernière couche et dormait ainsi, simplement vêtue d'un change complet, tout comme moi. La vision qui s'offrait à moi eut tôt fait de déclencher en moi une érection. La jeune femme de 21 ans qui venait de me sucer quelques heures auparavant était là, nue sous mes yeux, et portait une couche pour adultes.

N'étant jamais entré dans la chambre d'Alexandra, je ne peut dire si cette situation était inhabituelle ou non. Ainsi, je me mis à penser à une situation où Alexandra, souffrant problablement d'une forme d'énurésie qui touche les adultes, devait porter toutes les nuits une couche. Cette situation me paraissait d'autant plus probable que je me demandais pourquoi une fille aussi bandante qu'elle, disons les choses comme elles sont, n'a pas de mec. En deux mois de présence chez elle, pas un coup de téléphone, de courrier, ou la visite d'un quelconque mec. A chaque fois qu'on en parlait, elle disait qu'elle sortait d'une rupture et qu'elle avait besoin de temps pour s'en remettre. Plus je pensais à cela, plus je comprenais la raison de l'absence de mec.

C'est vrai, comment faire comprendre à un mec qu'une fille aussi belle et bien foutue qu'elle doit se garnir tous les soirs d'une couche, comme une vulgaire petite fille. Je comprenais aussi pourquoi elle me faisait jouer ce jeu là, et qu'elle avait tenu à ce que je porte, comme elle, une couche sur moi.

En songeant à cela, et à sa probable énurésie, mon sphincter se détendit et du pipi arriva à la couche, sans que j'en ai véritablement conscience. Tiens voilà que je me pisse dessus me dis-je. Heureusement que j'ai une couche.

En libérant ce flot de liquide, je me disais que la sensation de la couche sur mes fesses et mon sexe était de plus en plus agréable, et que le fait d'être garni n'était peut-être pas aussi ridicule que ça. Et c'est sur ce flot d'humidité et cette douce pensée que je refermai aussi discrètement que possible la porte de sa chambre.

En me recouchant, je me dis qu'il fallait que je joue le jeu, qu'elle trouve petit à petit ma couche de plus en plus mouillée, et qu'à la fin, je sois complétement énurétique tout comme elle. C'était d'autant plus facile, que la couche que je portais était déjà mouillée...

Chapitre 4

Le lendemain matin, comme à l'accoutumée, Alexandra était venue me réveiller. Même si j'avais vu hier soir qu'elle dormait nue, elle arriva dans la chambre en pyjama. En regardant, ces formes de plus près, j'essayais de deviner si elle était garnie ou pas... Hélas, elle ne se dévoila pas devant moi, et je ne devinais pas la moindre trace de couche sur ses fesses.

  • Alors mon bébé, t'as bien dormi avec ta couche ? Allez, fais voir, maman va contrôler.

Elle soulève le draps et regarde mon entrejambe,et ne peut que constater les dégâts.

  • Oh là là, mais on dirait qu'il s'est oublié le bébé, il a fait un gros pipi dans sa couche.

C'est bien. Heureusement que je t'avais mis ça hier soir, sinon ce matin tu serais mort, noyé dans ton pipi. Tu vois que maman avait raison! Bébé, doit encore porter des couches car à son âge il refait pipi au lit.

  • Hmmm ! Je suis désolé maman, je le referai plus, dis-je sur un ton faussement penaud.

  • Mais non, c'est pas grave, maman aime bien son bébé, surtout quand il mouille sa couche, dit-elle en m'enbrassant sur le front tout en posant sa main sur la couche pour attraper mon sexe et le titiller légèrement.

  • Allez, lèves-toi on à des courses à faire.

  • Mais tu ne bosses pas aujourd'hui ?

  • Non, j'ai pris mon mercredi, le jour des enfants, pour rester avec toi. On va sortir faire des courses.

  • Des courses ? Mais le frigo est plein !

  • C'est pas de la bouffe qu'on va acheter. Mais de quoi t'habiller pour la nuit. J'avais ramené que deux couches et tu les as utilisées toutes deux. En plus celles que je te mets sont à moi et elles sont légèrement trop petites. Il t'en faut à ta taille. On va donc aller en acheter dans un magasin spécialisé.

  • Jamais de la vie ! Je n'ai pas envie que quelqu'un sache que je dois porter une couche la nuit.

  • Ne t'en fais pas, ce sont des spécialistes, ils sont habitués à ce genre de chose.

Il n'y a qu'à dire que tu souffres d'un petit problème et que tu dois porter une protection. Si tu veux, tu ne diras rien et tu me laisseras parler, je m'occuperai de tout. Tu verras, tout se passera bien, tu peux me faire confiance. Sinon, je révèle tout à tata.

  • Bon d'accord, je te fais confiance. Mais ne dis rien à ma mère, ça serait trop la honte.

  • D'accord, je ne dirai rien, allez lèves-toi.

Je me lève et me dirige vers la salle de bains pour enlever ma couche, dont le coton commence à descendre et forme un boule entre les jambes.

  • Attends, restes-là. me dit Alexandra. Tu veux bien rester en couche pour déjeûner ? Ca me ferais tellement plaisir. Je te trouve si mignon avec.

  • Hmmmm, je n'ai pas trop envie. En plus j'ai eu un petit accident cette nuit et c'est tout sale.

  • Ce n'est pas grave. Tu peux rester comme ça encore cinq minutes de plus, juste le temps qu'on déjeûne ?

  • D'accord, dis-je à bout d'argument.

Pendant le dejeûner, on se mit à parler du pipi de cette nuit.

  • Tu t'es mouillé volontairement ce matin ou c'est un vrai pipi au lit ? me demande Alex en mordant dans sa biscotte.

L'occasion qui se présentait était trop belle, je me décidai à rentrer dans son jeu.

  • Non c'est un vrai pipi au lit. Je me suis réveillé mouillé ce matin et je ne me suis rendu compte de rien. Quand ça m'arrivait, enfin quand j'étais chez maman, comme j'avais pas de couche, je me réveillais en pleine nuit avec des draps trempés. Mais là rien, je ne me suis même pas réveillé. C'est vachement pratique quand même. Non, je ne sais pas pourquoi j'ai fait pipi au lit, ça faisait des années que ça ne m'était pas arrivé. Je croyais être guéri.

  • Ça c'est l'effet couche. Je te l'ai dit que les adultes qui commencent à porter des couches régressent très vite la nuit, et refont pipi dans leur couche comme s'ils avaient jamais été propres. Ça doit être inconscient. Le cerveau doit se dire, je suis protégé donc j'ai pas besoin de garder tout ce pipi...

En écoutant ses paroles, une brusque envie se réveille et vient me rappeler que j'ai pas pissé depuis cette nuit. En me concentrant, j'essaye de me décontracter doucement. Ça y est ça vient, je sens le pipi sortir. J'eu beau essayer de me contrôler, pour limiter les risque d'innondation, je n'y suis pas arrivé. Toute ma vessie s'est vidée en une fois, et je baigne dans une couche ultra saturée. Ouf, pas de fuite apparentes. Hélas, trois fois hélas, en me levant pour débarasser la table Alexandra constate que mon acte à laisser de grosses auréole d'humidité sur le tissu de la chaise.

  • Hééééé c'est quoi ça ? Tu t'es fais dessus en mangeant ?

  • Ben oui, on dirait. J'ai voulu me retenir et je n'ai pas pu.

  • C'est malin ça ! Tu vois que j'ai raison quand je te dis que les personnes en couches commencent à se mouiller la nuit, avant de se faire dessus la journée. Sauf que toi, on dirait que tu brûles les étapes, plutôt que tu mouilles les étapes faudrait-il dire. Allez files à la douche, on verra tout à l'heure ce que l'on peux faire pour ça.

Après la douche, nous prîmes le métro pour aller acheter des couches pour moi. J'étais à la fois excité et honteux. Excité à l'idée de vivre d'autres jeux avec Alexandra, qu'elle me mette une couche, qu'elle me l'enlève, qu'elle me suce, que je joue le rôle d'un incontinent mais aussi aussi qu'un mec de dix-huit ans porte des couches, et surtout que quelqu'un d'autre le sache. Arrivé à destination, elle me dit de descendre.

Ce qui me sembla bizarre c'est qu'elle semblait savoir où aller, comme si elle était habitué. Cette sensation renforça l'intuition que j'avais eu cette nuit. Alexandra devait être une habituée des couches et devait effectivement en porter chaque nuit.

Nous entrâmes dans le magasin... De nombreux paquets et marques différentes étaient exposées, et on se serait cru au rayon couches pour bébé d'un supermarché tellement il y en avait. Nous étions à peine entrés qu'une vendeuse se dirigeait vers nous. Hélas, trois fois hélas et la honte sur moi, elle était relativement jeune, bien que proche de la trentaine. Ma cousine la salua et prit la parole :

  • Bonjour.

  • Bonjour, que puis-je faire pour vous ? demanda la vendeuse.

  • Je voudrais des renseignements sur les protections pour adultes.

  • Quel type de protection ?

  • Je ne sais pas, répondit Alexandra. C'est pour une personne qui a des problèmes la nuit.

  • C'est pour un monsieur ou pour une dame ?

  • C'est pour un monsieur.

  • Il peut se lever ou il a besoin d'aide ?

  • Disons qu'il a le sommeil profond et qu'il arrive pas à se réveiller, répondit Alexandra sur un ton un petit peu moqueur.

  • Ca arrive... Et il mouille beaucoup ? Je veux dire c'est la totale ou juste pipi ?

  • Juste pipi... mais quand même relativement important. Ça fait une tache d'environ la moitié du lit.

  • Bon je vois, c'est quand même assez important. Il vous faut une protection assez épaisse. Quelle taille fait ce monsieur ? Il est obèse ou normal ?

Et là, encore honte à moi, ma cousine se tourne vers moi et me demande :

  • Stef ? Tu fais quelle taille ?

  • Ah ! C'est pour monsieur, dit la vendeuse, en se tournant vers moi. C'est pour vous monsieur ?

  • Oui, dis-je sur un faible ton.

  • Il n'y a pas de honte à avoir vous savez. Vous n'êtes pas le seul dans cette situation embarrassante. De nombreux jeunes sont dans la même situation que vous et viennent acheter nos produits. Si vous voulez bien me suivre, on va aller dans l'arrière salle, on sera plus tranquille pour en parler, et ce sera plus pratique si vous voulez essayer différents produits.

  • Suivez-moi, dit-elle en nous précédant.

On va dans une pièce spécialisée, où sont exposés plusieurs modèles de couches, de tailles et coloris différents. Il y aussi quelques miroirs et une table de malade.

  • Vous avez des problèmes la journée aussi ou ce n'est que pour la nuit ?

  • Que pour la nuit, répondis-je sur un ton un peu plus normal, en ayant un peu moins honte puisque personne ne peut nous entendre.

  • C'est toute les nuits depuis longtemps, ou seulement de temps en temps, quand vous êtes fatigué ou que vous avez bu ?

Prenant plus d'assurance, et commençant à entrer dans mon rôle d'adulte énurétique, je dis que ça durait depuis près d'une semaine et que c'était vraiment toutes les nuits.

  • Je vois, me répond-elle, il vous faut quelque chose qui tienne la route.

Elle cherche dans les cartons et en ressort deux ou trois modèles, bien différents de ceux d'Alexandra, tant par la taille que l'épaisseur.

  • Voilà, nous avons ces trois modèles, spécialement adaptés au garçon. Vous voyez ? Touchez, il y a plus de produit absorbant sur le devant. Je peux me permettre de vous posez une question indiscrète ? C'est pour faciliter le choix.

  • Allez-y.

  • Votre sexe, vous le portez comment dans vos sous-vêtements ? Vers le haut, le côté ou vers le bas ? Je vous pose cette question pour le choix du modèle.

De plus en plus excité, je réponds :

  • Vers le haut !

  • Bon ben celui-là devrait être bien, me dit-elle. Maintenant j'ai besoin de connaître votre taille.

  • Quanrante.

  • Un modèle médium devrait aller, dit-elle en me tendant un paquet.

  • Tu ne veux pas en essayer une ? me demande Alexandra, histoire d'en rajouter un peu.

  • C'est possible d'en essayer une ? demanda-t-elle à la vendeuse sans attendre ma réponse.

  • Sans problème ! répondit-elle en sortant une couche de l'étagère derrière elle, pour me la tendre.

  • C'est vous qui vous la mettez ou c'est votre amie qui s'en occupe ?

  • C'est moi. répondis aussitôt Alex, J'ai l'habitude.

  • Vous avez la table à votre disposition si vous voulez, dit la vendeuse en nous laissant seuls - "Allez grimpes et déshabilles toi !" me dit Alexandra.

Une fois le bas enlevé, je m'allonges sur la table, livré aux douces mains de ma cousine adorée. Elle déplie le change qui, effectivement est beaucoup plus grand que les siens. Elle me fait lever les jambes avant d'étaler le change sous mes fesses. En le rabattant sur le devant, elle constate que je suis en pleine érection, malgré la proximité de la vendeuse.

  • Arrêtes ! me dit Alexandra d'une voix étouffée. Ce n'est vraiment pas le moment.

  • Si tu crois que je contrôle ce genre de chose, répondis-je. Ce n'est pas ma faute si tu me fais de l'effet.

  • C'est gentil, on verra ce soir si tu es sage, répondit-elle en refermant sa main sur mon sexe et en faisant deux ou trois petits vas et viens, histoire de me faire enrager.

La couche étant beaucoup plus grande, elle remonte bien au-delà de mon nombril et elle me semble énorme. Au deuxième adhésif, j'entends ma cousine jurer.

  • Eh merde !

  • Qu'est ce qu'il y a ?

  • j'ai du tirer trop fort, l'adhésif à lâché. Je ne peux plus le mettre. Ne bouge pas, je vais chercher la vendeuse, je reviens de suite.

le temps de répondre Alexandra s'en est allée et est revenue quelques secondes après, suivie de la vendeuse.

  • Ce n'est pas grave dit-elle, ça arrive quand on n'a pas l'habitude. Je vais vous donner un autre échantillon.

Elle se dirige vers l'étagère pour reprendre une autre couche.

  • Si vous voulez, je vais vous montrer comment faire, comme ça vous pourrez vous occuper de monsieur par la suite.

  • D'accord, pas de problème, répondit Alex.

Sglurp, la situation devenait périlleuse, il fallait que je me calme, et que cette érection disparaisse vite...

La vendeuse tira sur le change que j'avais entre les jambes pour le jeter à terre, bien avant que mon sexe eut repris sa taille normale. Essayant de regarder ailleurs, je fis comme si de rien n'était.

  • Je vois pourquoi monsieur à des problèmes nocturnes, dit la vendeuse. Levez les fesses, dit-elle. Maintenant baissez les fesses et écartez les jambes. Elle passe les change devant.

  • Excusez-moi, dit-elle, mais comme ça vous risquez de vous faire mal. Et elle prend délicatement le bout de mon sexe pour le recalotter. C'est amusant, mais les garçons, qu'ils soient petits ou grands, c'est pareil, ils sont souvent dans cet état là quand on leur met une couche..." - C'est peut être parce que la personne qui leur met est très mignonne et qu'ils veulent montrer qu'ils apprécient ces petites attention, dis-je en forçant maintenant mon érection.

  • Vue la taille qu'elle fait, je vois que monsieur apprécie dit-elle. En lorgnant avec appétit mon sexe qui ne fait que grossir dans sa main.

  • J'aime bien qu'on prenne soin de moi.

Ma cousine, à côté, ne bronche pas.

  • Bon après, ce qu'il faut faire, c'est bien penser à rester recalotter pendant qu'on rabat le change dessus. Puis après, on prend les adhésifs un à un en les collant doucement sur le change sans trop tirer, sinon ca se déchire, dit-elle à ma cousine en effectuant les gestes. Une fois tous les adhésifs, en place, vous vérifiez bien les élastiques anti-fuites. Mettez-vous debout que je puisse voir, me dit-elle.

Je me lève et descends de la table pour effectuer quelques pas. La couche, plus épaisse que celles d'Alex me rend la marche moins facile, m'obligeant à avoir les jambes un peu plus écartées. Voyant mon reflet dans le miroir, je comprends la raison de leur présence, et c'est sous un air enjoué que je m'admire sous toutes les coutures, comme si c'était tout à fait normal et que j'étais habitué à être en couche.

  • Ben ça m'a l'air parfait ! me dit Alexandra.

  • Je pense aussi, répondit la vendeuse. C'est le modèle qu'il lui faut. Avec ça sur lui, toutes les nuits, plus de problèmes de draps mouillées. Vous allez pouvoir dormir en sécurité.

  • Je ne vous le fait pas dire, dit Alex. Rhabille-toi, je t'attends de l'autre côté, dit-elle en sortant de la pièce avec la vendeuse.

  • Et attends, tu viens me l'enlever.

  • Vous pouvez la garder, dit la vendeuse. C'est un échantillon gratuit.

  • Tu as entendu ? Garde-là et rhabille-toi, dit-elle d'une voix assez forte pour être sûr que tout le monde entende.

Pendant que je me rhabillais, la vendeuse et Alex discutèrent ensemble.

  • Vous savez, il faudrait peut-être prendre une culotte en plastique de protection ou un pyjama adapté, car ce n'est pas pour vous manquer de respect, mais vu l'anatomie de votre ami, il vaudrait mieux renforcé tout ça. La couche risque de souffrir la nuit, et de perdre de son efficacité." - Une culotte en plastique ? En plus de la couche vous voulez dire ?

  • Oui, c'est une culotte en plastique avec des boutons pressions, comme celles pour les bébés, mais en plus grand. On la met par dessus la couche, pour la maintenir bien en place contre son anatomie imposante. si vous voyez ce que je veux dire.

  • D'accord, je vais en prendre une pour essayer, répondit Alex, toute enjouée à l'idée de m'imposer de nouveaux jeux.

  • Tansparente ou à motifs ? Transparent c'est mieux pour voir si la protection a besoin d'être changée, et à motifs c'est plus fun. Personnellement, je préfère les motifs, nous en avons avec des fleurs ou des animaux, dit la vendeuse en montrant un catalogue sur le comptoir.

  • Pourquoi pas autant joindre l'utilile et l'agréable quand on peux le faire. Je vais prendre celui avec les petits lapins. Ça lui fera plaisir.

  • C'est quoi le pyjama adapté ?

  • C'est un pyjama spécialement fait pour les personnes incontinentes qui portent des couches et qui risquent de les enlever. En fait c'est une pyjama une pièce, qui se met normalement et qui a une fermeture éclair dans le dos et que la personne ne peut pas l'ouvrir d'elle-même. Comme ça, pas de risque qu'elle enlève sa couche. La fermeture va jusqu'en bas pour faciliter le change quand la couche est souillée. Ça peut être intéressant pour vous, car en général ces messieurs supportent la couche trois ou quatre jours de suite. Ensuite ils n'en veulent plus, et ils vont l'enlever discrètement la nuit. Avec ça il pourra pas, c'est vous qui déciderez quand et où il doit l'enlever. Et en plus ca peut calmer ses ardeurs quand vous n'avez pas envie, dit la vendeuse sur un ton complice et en levant les yeux.

  • Oh, il fera ça dans la couche, dit-elle. J'en prend un aussi. Vous en avez avec les même motifs que la culotte ?

  • Oui, je vais le chercher, ne bougez pas. En plus, si ça vous intéresse, je peux aussi vous mettre deux ou trois échantillons pour la journée.

  • Ben, je n'en vois pas l'utilité. Il ne fait que la nuit pour le moment.

  • Vous avez raison, pour le moment. En général, quand ces problèmes arrivent la nuit, ça ne laisse rien présager de bon, et ça peut arriver très vite pendant la journée. Vous verrez, ce sont des couches tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes. Elles ne se voient pratiquement pas sous un pantalon. Comme ça, il se sentira sécurité tout au long de la journée. Vous verrez, vous m'en direz des nouvelles. Les adhésifs sont réajustables, vous pouvez lui mettre même s'il ne s'oublie pas encore la journée. Tant qu'elle reste sèche, elle peut servir. C'est juste au cas où... Enfin pour éviter ces petits accidents qui causent bien des tracas.

C'est à cet instant de la conversation que je fais mon retour.

  • Ça va ? me demande Alexandra. Tu as gardé la couche ? dit-elle en me mettant la main aux fesses. C'est bien, tu es un brave garçon, dit-elle en constatant effectivement que j'étais garni.

  • Je me sens ridicule, j'ai l'impression que ça se voit.

  • Tournes-toi que je regarde !

Je me retourne et les mots rassurant fusent tout de suite de sa bouche.

  • Mais non, on voit presque rien, ça te fais un popotin un peu plus rond. Tu es adorable, dit-elle en me faisant un poutou sur la joue.

La vendeuse reviens et tend un paquet à Alex.

  • Voilà pour les affaires, et voilà pour les couches.

Et là, la honte me monte au visage. Je vois que le paquet de couches qui est énorme n'est qu'à moitié caché par un sac plastique, et on peut très facilement libre sur le devant et le derrière: quarante-huit Changes complets adulte, incontinence lourde. La honte si on me voit comme ça dans le métro.

  • Je suis désolée, dit la vendeuse, on n'a plus d'autres sacs pour le moment. j'espère que ça ira ?

  • C'est bon, ça ira répond Alexandra, on est pas loin. Tiens porte-les, me dit-elle, elles sont pour toi.

Elle paie et nous sortons. À peine sortis du magasin, je lui demandes :

  • C'est quoi l'autre paquet ?

  • Tu le sauras le moment voulu, c'est encore pour toi. C'est une surprise, tu verras ça ce soir.

Je me sens ridicule en descendant dans le métro . Entre le paquet de couches que je trimbale, qui est bien visible, et celle que j'ai entre les jambes. J'ai l'impression que tout le monde me regarde. Et effectivement à peine dans la rame, je vois une jeune fille qui essaie de lire l'inscriporion sur le paquet de couches. Je la regarde, elle est mignonne et attirante. J'ai bien envie de lui dire que c'est bien pour moi, et que je suis actuellement garni. Nos regards se croisent soudain et je me mets machinalement à lui sourire, elle me répond. Alexandra m'envoie un coup de coude pour me rappeler à l'ordre.

Station suivante, beaucoup de monde monte dans la rame, je me tasse vers le fond. La rame démarre. Comble de malchance la fille qui matait mon sachet de couches, se trouve juste devant moi, et avec le monde qui nous comprime elle est carrément collé à moi. Elle se retourne et me dit :

  • Désolée, en faisant une petite moue de la bouche.

  • Ce n'est rien, répondis-je en essayant de mettre mon bassin en arrière pour ne pas qu'elle puisse sentir la bosse que fait la couche sur le devant, sans savoir si elle a senti ma garniture. Soudain, je sens un truc au niveau de la bosse. Je rêve ou elle est en train de me toucher. Elle oblique légèrement la tête pour me regarder du coin de l'oeil. Son regard interrogateur se pose sur moi comme pour me demander si j'en porte une. Sans qu'Alexandra me regarde, je lui fais un sourire et un oui de la tête. Elle me sourit en réponse et continue à me peloter. Je commence à bander et à me sentir étroit dans ma couche. Je me force à faire pipi pour faciliter mon érection... Je sens sa main bouger pour se placer sur ma braguette.

Afin de ne pas alerter Alex, je me plaque contre le corps de la fille. Je sens son corps faire de même. Maintenant ce sont ses fesses qui sont au contact de ma couche. Je la sens onduler, pendant que sa main baisse ma braguette et s'insinue sur mon caleçon. Elle commence à faire des vas et viens. La situation est tellement inattendue et excitante que je jouis presque aussitôt. Inondant ma couche encore une fois en serrant les dents pour éviter tout cris où gémissements qui pouraient me faire trahir. Sentant les contractions de mon sexe, la main de mon inconnue, se serre dessus, comme pour ressentir la moindre trépitation de mon sexe. A cause de cet orgasme, j'ai les jambes qui commencent à flagoler et je me sens vaciller. La rame de métro a ralenti, j'ai failli tomber. Me raccrochant de justesse à Alexandra.

  • Fais attention ! me dit-elle en se tournant vers moi.

  • Je suis désolé, j'ai été surpris.

Le mouvement de mon corps a fait que la main de la fille est sorti de ma braguette et la situation a repris son air habituel. La rame s'arrête et les gens se préparent à descendre. Me penchant vers la fille, je lui glisse tout doucement à l'oreille.

  • Merci.

  • C'est moi qui vous remercie, dit-elle tout aussi doucement.

  • Quoi ? Qu'est-ce que t'as dit ? me demande Alex.

  • Rien, j'ai rien dit.

  • Ah, bon, je croyais que tu me parlais. Allez, on descends ici. Prends ton paquet, et suis-moi.

Et c'est sur un dernier regard à ma belle inconnue, que je descends de la rame.

Arrivé à la maison, je pose mon nouveau paquet de couche dans l'entrée.

  • Vas le mettre dans ton placard, ce sont tes affaires. Tu as le choix, soit tu les laisses dans le paquet, soit tu les enlèves et tu les mets sur une étagère.

Je sors le paquet du sac plastique et le pose pour momentanément comme ça dans le placard.

  • C'est quoi cette surprise que tu me réserves ? demandais-je sans avoir la moindre idée de ce que ça pouvait être.

  • Tu verras ce soir, me répondit Alexandra, tout en se dirigeant vers sa chambre avec le sac plastique dans la main. En sortant de sa chambre elle me demande :

  • Alors ? Ca te fait quoi d'avoir une couche la journée, et de se balader dehors ?

  • Ca fait drôle, dis-je. J'avais l'impression que tout le monde savait que j'étais garni.

  • C'est génial non ? Moi je me sens toute bizzarre quand j'en ai une au bureau, j'ai l'impression de retrouver mon âme de petite fille.

  • C'est un peu ça. Par contre, c'est pas très discret de se balader dans le métro avec un paquet de couches pour adultes. Tout le monde regardait ce que c'était.

  • Surtout la petite blonde à côté de toi. J'ai bien vu ton manège, tu l'as maté, vilain !

J'avais bien envie de lui dire que toutes ces couches c'était pour toi, que tu fais encore pipi au lit à ton âge comme un bébé.

  • Elle l'a su, dis-je sur un ton ironique.

  • Comment ? répond aussitôt Alex.

  • Et bien, je l'ai bien vu quand elle était en train de lirel'incription sur le paquet. Après, elle m'a regardé, ma souri, et m'a demandé du regard si elles étaient pour moi.

  • Et qu'es-ce que ce tu as fait ?

  • Que je veux-tu que je fasse ? Je lui ai souri et fais un oui de la tête.

  • Salaud ! Espèce de petit cochon ! Tu as eu honte j'espère ?

  • Pas le moins du monde, bien au contraire, j'ai trouvé que cette situation très exitante. J'ai même failli jouir dans la couche.

  • Salaud te voilà puni pour ton audace, dit-elle. Tu vas garder ta couche jusqu'à ce soir.

A mesure qu'Alex préparait le repas, je commençais à m'habituer à cetteépaisseur entre les jambes, à la sensation d'avoir les hanches serrées, mon sexe qui va et vient dans le coton, surtout quand il est mouillé. Et plus je pensais à ce que j'avais vécu ce matin, plus je trouvais un certain plaisir à être langé comme un bébé alors qu'on est un adulte. C'était un peu comme faire une chose défendue, être rebelle. Ça y est j'étais le rebelle en couche-culottes. Et hop, un petit pipi quand on ne me regarde pas, et hop un autre en attendant l'ascenseur.

Pendant le repas, je demandais à Alex ce qu'elle avait ramené dans le sac.

  • Une surprise, tu verras bien ce soir, répondit-elle.

  • Si tu ne me le dis pas, j'enlève ma couche et je te l'a fait manger.

  • T'es pas cap ! dit-elle.

  • Tu as raison et en plus elle est bien trempée. Bon, si tu me le dis pas, je l'enlève et je n'en mettrai plus.

  • Elle est trempée ? me demanda-t-elle. Et t'as fait ça quand ? Je ne me suis aperçue de rien.

  • C'est normal, j'y arrive de plus en plus facilement maintenant. C'était dans le métro, puis un peu dans l'ascenseur et au début du repas.

  • Et moi qui croyais que ça t'embêterait quand je t'ai dis que tu la garderais toute la journée.

  • Non ça va, on s'habitue, je commence même à apprécier.

  • Tu as besoin d'être changé ou elle tient encore le coup ?

  • Je pense que ça ira.

  • On regardera ça après le repas. Comme tu me dis tout et que tu commences à apprécier ta situation, je te montrerai tes surprises avant d'aller faire ta sieste.

  • Faire la sieste ? dis-je.

  • Ben oui faire la sieste. Tous les bébés font une sieste après midi. Tu portes des couches, tu es un bébé, tu fais la sieste. Il n'y a pas à discuter, c'est comme ça. Et puis c'est maman qui décide pour toi, dit-elle sur un ton ferme.

Dès que le repas fut fini, Alex m'ordonna d'aller dans sa chambre, de me déshabiller, et de m'allonger sur son lit, juste avec ma couche. C'était la première fois qu'elle me faisait explicitement venir dans sa chambre. Lui obéissant, je me déshabille pour ne garder que la couche et constater qu'elle est rudement mouillée. Je me surpris même à penser qu'il me tardait qu'Alexandra m'en mette une propre et douce.

Elle entre dans la chambre et ferme le volet. Je suis étendu sur le lit, les jambes relevées, comme un bébé sage qui attend que sa maman vienne lui changer la couche.

  • Alors, bébé à fait dans sa coucouche ? dit-elle sur un ton enfantin. Bébé veut que maman lui mette une couche propre ?

Je hoche la tête pour dire oui en suçant mon pouce.

Elle se retourne pour ouvrir son armoire et tirer un rectangle de plastique et deux boites cylindriques. Puis, elle m'ordonne de lever mes fesses pour glisser le plastique sous mes fesses. Mais que c'est froid !

  • Ça, c'est pour pas que le pipi de bébé salisse les jolis draps de maman. Bon, maintenant voyons cette couche, dit-elle en tirant sur les adhésifs. On dirait que c'est un gros pissou qu'on a là !

Elle tire sur le devant du change pour libérer mon sexe. Des gouttes de pipi courent entre mes poils. Prenant de plus en plus plaisir à la situation, mon sexe se tend au maximum.

  • Eh bien, mon bébé, je vois qu'on est content. Ne bouges pas, maman revient de suite.

Et là, elle s'absente pour aller dans la salle de bains. Elle revient cinq secondes après avec une paire de ciseaux et de la crème à épiler.

  • Les bébés n'ont pas de poils à leur robinet, me dit-elle. Ce n'est pas grave maman va couper tout ça, et bébé sera mignon avec la peau toute douce.

Et elle commence à me couper les touffes de poils le plus court possible. Une fois fini, elle prend le tube de crème pour en déverser une bonne partie sur ce qu'il me reste de poils.

  • Bien maintenant il faut attendre dix minutes, me dit-elle. Tu ne bouges pas et tu gardes les jambes écartées. En attendant, maman va te donner ton dessert pour t'aider à patienter.

Alexandra, soulève son pull et dévoile sa lingerie, un superbe soutien-gorge en dentelle qui met sa poitrine généreusement en avant. Elle se dégraphes, se met à côté de moi sur le lit et place ses seins à hauteur de ma bouche. Elle me présente un sein et dit :

  • Vas-y mon bébé, tête, c'est pour toi.

Excité au plus au point, je me jette sur ce têton gourmand et le titille comme si je voulais en tirer la moindre goutte de lait. Au bout d'un instant, alors que je suis affairé sur ce sein, j'entends ma cousine commençer à gémir et sens son bassin onduler au rythme de mes succions.

  • Oooh oui, vas-y mon bébé, me supplie-t-elle.

J'accentue les aspirations et je sens une de ses mains se poser sur mon sexe pour le branler. Sur le point de jouir, je lui demande d'arrêter. Elle retire sa main de mon sexe pour la mettre entre ses jambes et se donner satisfaction.

Je sens son corps se crisper, devenir raide, pendant qu'elle gémit de manière incontrôlée. Ca y est, elle était en train de jouir.

Une fois ses convulsions stoppées et son état normal à peu prés revenu. Elle me dit :

  • Eh bien, mon bébé, tu as rudement faim on dirait. Je crois que maman va te faire têter plus souvent. Bon ! Ça doit faire dix minutes, il faut penser à nettoyer tout ça.

Là, elle se relève pour sortir de la boite une espèce de lingettes dont l'odeur d'amande douce remplit presque aussitôt la chambre. La posant sur mon pubis, elle retire la crème à épiler et le résidus de poils. Au bout de trois ou quatre lingettes, me voilà complétement épilé. Seul mon sexe, trône fièrement.

  • Il faut aussi nettoyer ce gros robinet, me dit-elle.

Et elle reprend une lingette pour se consacrer à ma toilette intime. Une fois nettoyé, je sens qu'elle me met un doigt dans l'anus et essaie de forcer le passage.

  • On en mangerait, dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

Elle descend entre mes jambes, prend mon sexe dans la bouche et lui imprime deux ou trois vas et viens. Elle se retire ensuite et me dit :

  • Bébé veux-tu faire ça dans sa couche ou dans la bouche à maman ?

  • Dans la couche, dis-je. Je veux pas te salir.

  • D'accord, dit-elle. Mince, la couche, j'ai oublié de prendre une couche. Ne bouge pas je vais prendre le paquet dans la placard et je reviens.

Et pour la deuxième fois, elle sort de la chambre pour revenir quelques instants après avec le paquet de couches neuves qu'elle jette sur le lit. Elle déchire l'emballage et tire une couche qu'elle déplie.

  • Lève les fesses, écarte les jambes !

J'obéis et je la vois prendre une deuxième boite et l'ouvrir. A l'odeur, je reconnais du talc dont elle me soupoudre généreusement les parties et le sexe.

  • Comme ça bébé aura la peau toute douce et sentira bon.

La boite reposée, elle balade son doigt entre les replis de peau de prépuce, pour n'oublier aucun recoin. Une fois poudré sur toute les coutures, elle rabat le change sur mon anatomie et colle un à un les adhésifs. La couche mise, elle en ajuste les élastiques avec une attention toute maternelle.

  • Voilà, le bébé à maman est tout propre, dit-elle en me faisant un sourire à tomber par terre. Attends mon bébé maman a encore une surprise pour toi.

Elle tire d'un autre sac qui était par terre une culotte en plastique décorée de motifs enfantins.

  • C'est une jolie culotte pour mon bébé, dit-elle en montrant la culotte dépliée sous mes yeux. Maman va la mettre au-dessus de ta coucouche, comme ça elle tiendra bien en place.

Elle glisse la culotte sous mes fesses et passe la partie plus longue sur le devant comme s'il s'agissait d'une autre couche. À la place des adhésifs il y a quatre boutons pressions qu'elle ferme un à un.

  • Voilà, comme ça, bébé pourra gambader avec sa couche. Plus besoin de ses affreuses culottes en tissu. Tu vois comme elle est douce, me dit-elle en prenant ma main pour que je caresse le plastique.

Effectivement le contact est très agréable. Excité, je mets ma main sur mon sexe pour tenter de me caresser à travers la couche. Alexandra s'apercevant de cela, me donne une tape sur la main et me dit :

  • Il ne faut pas ! Bébé n'a pas le droit de tripoter son robinet ! Il n'y a que maman qui a le droit. Fermes les yeux et penses que tu as un an, me dit-elle en posant sa main sur mon engin.

Tentant de m'imaginer la situation, je sens sa main onduler le long de mon sexe. Elle n'a pas fait trois mouvements que je sens une violente contraction survenir du plus profond de moi-même, annonçant un orgasme intense.

  • Vas-y mon bébé, c'est bien, dit-elle en accélérant le mouvements. Maman est fière de toi.

Ayant presque perdu l'esprit, je ne sais plus combien de contractions orgasmiques j'ais pu avoir. Mais le fait de me sentir légèrement trempé entre les jambes me fait dire que cela a du être terrible.

  • C'est très bien mon bébé, dit-elle.

Elle approcha son visage et déposa un léger baiser sur mes lèvres. Mon sexe reprenant sa taille, je me rendis tout à coup compte que j'étais en train de me faire dessus. Les contractions de mon orgasme avaient du affaiblir mes sphincters, et ma vessie se vidait naturellement. Chouette, pensais-je, j'arrive à faire même coucher, presque inconsciemment.

  • Maintenant, maman a une deuxième surprise pour bébé.

Et elle sortit une combinaison molletonnée avec les mêmes petits lapins que sur la culotte que je portais.

  • Un joli pyjama pour bébé, dit-elle en commençant à me l'enfiler par les pieds.

  • Tu l'as mis à l'envers, lui dis-je. La fermeture est derrière !

  • C'est fait exprès, me répondit-elle. C'est pour les personnes qui portent des couches, comme toi. Comme ça, on peut plus les changer plus facilement.

Sans bien comprendre le sens de sa réponse, je me laissais faire. Arrivé à la taille elle me fait tourner pour faciliter l'enfilement du haut et des bras. Une fois bien mis, elle tira sur la fermeture éclair pour finir mon habillage.

  • Voilà, bébé est tout beau maintenant. Une couche propre, une jolie culotte et un joli pyjama avec des lapins dessus. Maitenant c'est l'heure du dodo, dit-elle en tirant les draps de son lit pour les rabattre sur moi.

  • Bébé a peur... Bébé veut que maman dorme avec lui, dis-je en babillant comme un bébé.

  • D'accord, mais tout à l'heure, quand bébé dormira, maman viendra se coucher à côté de lui.

Elle se leva et sortit de la chambre. Il ne me fallut pas longtemps pour m'endormir.

Je ne saurais dire combien de temps j'ai dormi, mais j'ai ouvert un œil, et senti un corps à mes côtés, c'était celui d'Alexandra, ma maman. Je me suis rapproché d'elle. Mon corps s'est collé à elle et j'ai passé mon bras sur elle. De ma main, j'ai caressé ce corps qui m'avais donné tant de plaisirs depuis ces derniers jours. En descendant la courbe de ses reins, ma main fut stoppé par quelque chose de drôle. Il me semblait reconnaître le contact du plastique d'une couche. Je soulevai le draps pour vérifier cela. J'avais raison, c'était bien une couche et c'était son seul vêtement. Je me rendormis le sourire aux lèvres.

A notre réveil, Alexandra m'avoua que depuis plus d'un an, elle souffrait d'énurésie et devait porter une couche dès qu'elle dormait. C'était suite à une rupture disait-elle. Elle ne voulait plus de mec, car elle se demandait comment il pourrait accepter cette situation. Plus ou moins amoureuse de moi, elle avait imaginé ce scénario pour m'avouer son problème. En fait il n'y avait jamais eu de taches sur les draps, c'était elle qui les avait faites juste avant de m'appeler.

Ça fait deux ans maintenant qu'on vit ensemble. Elle souffre toujours d'énurésie nocturne et n'a plus peur de porter des couches. Moi de mon côté, je perds peu à peu le contrôle de ma vessie et porte des couches jours et nuit, autant par plaisir que par nécessité. Et Alexandra prend soin d'entretenir tout cela.

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